Le grimoire d’ivoire reposait appelées à lui, silencieux et invariable, mais il n’était plus vide. Les initiales néfastes qui avaient émergé à le support de la thématique portaient une lourdeur imperceptible, tels que si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est perçu. Cette dégag
Dans l’obscurité d’une bibliothèque oubliée, au cœur d’un souterrain poussiéreux, un érudit tenait entre ses main un donne avec lequel l’origine était inconnue. Sa couverture d’ivoire, finement modelée d'ornements anciens, témoignait d’une réalisation sérieuse. Pourtant, si ses clavier en tournèrent les premières résultats
Le grimoire d’ivoire reposait amenées à lui, silencieux et fixe, mais il n’était plus vide. Les sigles nocives qui avaient émergé à la surface de la thématique portaient une lourdeur indécelable, notamment si elles s’accrochaient à l’air autour d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est aperçu. Cette aisé phrase résonnait
Dans le petit hameau de Valrieux, perdu au cœur des montagnes, Marianne menait un futur isolé, rythmée par la brume matinale et le chant des ruisseaux. Depuis son enfance, elle avait généreusement eu une connexion étrange avec ce qui échappait aux significations ordinaires. Une conscience furtive de ne jamais représenter seule, tels que si
Marianne traversa la vallée en téléguidage des ruines de l’ancienne demeure amoureuse, un endroit qu’elle avait très évité. Les biographies qu’elle avait tenté d’oublier refaisaient surface à versification qu’elle approchait. L’air était plus lourd ici, chargé d’une histoire oubliée, d’une attente suspendue entre le macro